Par Serge Philippe PIERRE J\'écrivais, il y a six ans, dans ce même journal et dans les mêmes circonstances, que «je n\'ai ni le savoir ni le talent nécessaire pour déposer au front altier du Doyen de la presse haitienne, Le Nouvelliste, la couronne de mérite, auréolée de palmes de succès et de gloire que lui vaut aujourd\'hui son anniversaire.

Je disais, il y a trois ans, que « je n\'ai ni le savoir ni le talent nécessaires pour déposer au front altier du Doyen de la presse haitienne, Le Nouvelliste, la couronne de mérite, auréolée de palme de succès et de gloire que lui vaut aujourd\'hui son anniversaire.

A Christ-Roi.

Serge Philippe Pierre Quand Bernard Sérant m'a proposé, il y a un peu plus d'une semaine, de lire son texte avant d'être publié dans les colonnes du quotidien «Le Nouvelliste» sur son livre"Rien que pour un instant"qu'il signe à la 11e Edition de Livres en Folie le jeudi 26 mai 2005, je me suis laissé traverser par une multitude de réflexions, en regard du caractère émouvant, à la fois poignant, de son récit.

Serge Philippe Pierre L\'édition 2005 de « Livres en Folie » aura laissé des coups de surprise pour tous ceux-là qui n\'ont jamais raté ce rendez-vous événementiel, ce point de rencontre intellectuel, ce haut lieu de pensée, de culture et d\'échange, ce forum de discussion mis en oeuvre conjointement par Le Nouvelliste et la Unibank.

Dans Le Nouvelliste du vendredi 7 au dimanche 9 janvier 2005, dans un article titré : « Existe-t-il un Service de la circulation des véhicules?», nous avions fait état du désordre observé au niveau des rues de la capitale en matière de circulation dû, entre autres, notamment à l\'indiscipline des chauffeurs, à la prolifération des marchés publics, à l\'exiguïté de nos artères, à la multiplication des gares routières, au mauvais état des véhicules.

Existe-t-il un Service de la Circulation des véhicules? C\'est la question que se pose plus d\'un, en regard du cahos observé dans les rues, du désordre généralisé constaté, de l\'indiscipline des chauffeurs de transport public surtout, de la prolifération des marchés publics et des gares routières qui transforment la plupart des artères de la capitale en un véritable bordel.